L’article de John Kay prétend que les préoccupations environnementales jouent le rôle d’une religion. Le mythe fondateur de cette religion est, selon lui, l’explication des changements climatiques par l’activité humaine.
Cet article me révolte. Il témoigne, à mon sens, d’une méconnaissance profonde des enjeux environnementaux. Il me donne envie d’écrire une réponse qui s’intitulerait « Why neoliberalism lobby must be treated as a religion ».
Cet article montre aussi que pour le grand public ou en tout cas pour cet éditorialiste du Financial Times les religions ne sont pas audibles sur les questions d’environnement.
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