Note de lecture de Francis Marchand sur le livre de Michel-Maxime Egger.
La première partie traite des racines de la crise écologique et des raisons pour lesquelles nous avons tant de mal à accepter de croire à l’imminence de la catastrophe, bien que notre raison nous la présente dans toute son acuité…
La seconde partie traite de l’attitude ambivalente du christianisme qui d’un côté a tout fondé sur l’homme, se souciant assez peu de la nature, et de l’autre a de véritables potentialités écologiques.