Après le récent « Indignez vous ! », l’auteur nous conseille de réagir en résistant dans différents domaines.

Dans un civisme qui doit passer du national au global, il faut lutter contre pauvreté et richesse extrêmes, protéger les pays pauvres de l’économie commerciale mondiale, passer du PIB à l’IDH (indicateur de développement humain.) Il constate que hélas l’aide aux pays en développement qui était de 0,7% du PIB en 1964 n’est plus que de 0,25 %.

La dégradation de la planète est vue comme le grand défi mondial. Pour un développement soutenable il souhaite qu’on produise autrement et préconise une agriculture de subsistance et l’agro-écologie (qu’il pratique dans son association agrisud.)

C’est intellectuellement d’abord qu’il est venu à l’écologie et il cite Edgar Morin et « changer d’ère » de Jacques Robin. Puis c’est Thierry Salomon, promoteur de « negawatt » qui lui a montré où l’homme peut s’investir.
Il souhaite la création d’un conseil économique de sécurité économique et social, critique l’OMC parce qu’elle est entre les mains d’états forts qui ne tiennent pas compte des pauvres.

Il n’est pas trop tard pour changer le monde, promouvoir une économie sociale et solidaire et pour cela il approuve le collegium international éthique et politique avec Michel Rocard.

Après la déclaration universelle des droits de l’homme il veut ajouter les droits de la nature.

Son dernier message :
GARE A L’AVENIR ET VIVE L’AVENIR.